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Pour la deuxième semaine consécutive, les Soudanais de France appellent à une manifestation de solidarité avec le peuple soudanais et pour dénoncer les crimes commis par les Forces de soutien rapide (FSR).
Cette fois, la manifestation aura lieu le samedi 8 novembre à 13h00, place du Trocadéro à Paris.

Stop au génocide au Soudan !
Soutien à la population victime de massacres au Darfour et au Kordofan
Rassemblement à Paris Place du Trocadéro Samedi 8 novembre
Pour manifester notre solidarité avec le peuple soudanais et dénoncer la complicité des Emirats Arabes Unis et de la France.
Publié sur Sudfa média
Mercredi 12 Novembre, comme chaque deuxième mercredi du mois, c'est jour de cantine à l'Impasse !
Viens trainer, cuisiner et/ou manger avec nous ! :)
Pour manger c'est au 1 impasse lapujade à partir de 19h ! et si t'as envie de donner un coup de main pour cuisiner tu peux venir à partir de 14h à la même adresse. (amènes ton couteau pour les découpes si tu peux, sinon on t'en prêtera.)
La bouffe est vegan et c'est à prix libre à partir de 0 euros.
C'est la deuxième cantine de cette année, et on a décidé qu'elles auraient lieu le deuxième mercredi de chaque mois.
Au plaisir de vous y voir !
L'impasse c'est quoi ? https://iaata.info/Apres-l-expulsion-d-Euforie-c-est-l-Impasse-6401.html
publication de brochure
La brochure Critique anti-autoritaire du grooming et autres rapports de domination par l'âge dans les relations de séduction est un recueil d'une dizaine de textes répondant à un appel à contribution ouvert début 2025.
Au sommaire :
- introduction
- lexique
- Ephébocriminalité et adultisme de @lucie_ottobruc
- Rouler sur des adolescences anonyme
- Marteler à mort…
- … et rattraper la carne de L'arscene – Ethel
- Désirer n'est pas consentir de éliot astrée
- 23 ans, une « petite » ?! de @lucie_ottobruc
- Toi, qui n'as pas besoin de moi pour être toi de La Sacha
- Twenty nine anonyme
- Mature pour mon âge ? Irresponsables pour vos âges ! anonyme
- conclusion
- ressources
FRANTZ FANON, 100 ANS, un triptyque consacré à la figure de ce penseur, psychiatre et révolutionnaire qui inspira tant de mouvements de décolonisation au XXᵉ siècle et continue de nourrir les pensées anticoloniales d'aujourd'hui.
Nobody is free until everybody is free !
Retrouvons-nous samedi 8 novembre à 15 h, place Chavanelle.
Traduction d'une brochure parlant du véganisme d'un point de vue anarchiste
Une traduction de Biting Back - A Radical Response to Non-Vegan Anarchists
Le véganisme n'est pas seulement un choix alimentaire, mais une remise en question du discours anthropocentré dominant. Il ne s'agit pas d'acheter des produits différents, mais de cultiver de nouvelles relations avec les animaux non humains, non fondées sur la hiérarchie et l'oppression. Bien que certains anarchistes considèrent encore qu'attendre l'effondrement du capitalisme et soutenir l'ALF est une approche suffisante de l'antispécisme, beaucoup d'entre nous reconnaissent le cadre socio-culturel et alimentaire qui permet le spécisme et la nécessité de sa destruction totale.
Bien qu'un certain nombre de radicaux reconnaissent l'oppression des animaux non humains et la combattent, nous continuons à voir des animaux non humains proposés comme nourriture lors de nombreux repas, salons du livre et autres rassemblements anarchistes. Nous pensons qu'il s'agit d'une forme d'oppression hiérarchique qui mérite une critique anarchiste nécessaire.
Ce court essai tentera d'aborder certaines des objections anarchistes les plus courantes au véganisme. Nous souhaitons inspirer une pratique anarchiste insurrectionnelle et d'éco-défense en affirmant notre position contre le spécisme et l'objectification des animaux non humains.
Définitions :
Anarchie insurrectionnelle : L'anarchie insurrectionnelle est une façon de conceptualiser l'anarchisme dans le présent. Plutôt que d'attendre un moment révolutionnaire futur, l'anarchiste insurrectionnel reconnaît que le combat révolutionnaire se déroule ici et maintenant.
Il n'y aura pas de révolution grandiose à attendre. L'anarchisme insurrectionnel est axé sur l'action. Nous voulons créer un monde meilleur dès maintenant, tout en nous attaquant à ce qui nous empêche de le réaliser. Nous aspirons à mettre fin à l'État, au capitalisme et à toutes les structures de pouvoir internes et externes qui maintiennent cette société.
Anthropocentrisme : La croyance moraliste selon laquelle l'être humain est l'entité la plus importante sur Terre.
Spécisme : Le spécisme, comme beaucoup d'autres ismes, repose sur un courant de pensée qui considère certains traits non choisis comme intrinsèquement supérieurs à d'autres.
Les racistes se croient supérieurs en raison de leur race, les sexistes en raison de leur sexe, et les spécistes en raison de leur espèce. Le spécisme naît d'une vision anthropocentrée du monde, selon laquelle l'individu croit que l'humain est l'animal le plus important et a donc le droit de discriminer les autres animaux en fonction de leur espèce.
Véganisme : Éviter, autant que possible, la cruauté envers les animaux non humains et leur consommation, ainsi que leurs produits dérivés, pour l'alimentation, l'habillement et le divertissement. Les véganes considèrent tous les animaux (humains et non humains) comme des êtres dotés de leurs propres désirs et d'un potentiel de liberté.
Le véganisme radical est une extension logique de la pensée anarchiste qui reconnaît les situations rencontrées par tous les êtres opprimés, et pas seulement les humains. À cet égard, le véganisme propose une réflexion et déconstruction constante des positions, comportements et actions personnels dans les relations en constante évolution entre les individus, le monde qui nous entoure et les systèmes dominants qui nous sont imposés.
Voici quatre objections courantes au véganisme formulées par les anarchistes.
1. Imposer le véganisme est une pratique coloniale, car tuer et manger de la viande est un aspect essentiel de nombreuses communautés autochtones. Autrement dit, « Tuer et manger des animaux n'est pas le problème, c'est une relation colonisée à la mort et à la consommation d'animaux qui est le problème. »
C'est une position courante que nous avons vue de nombreux anarchistes. Il est intéressant de noter qu'elle est le plus souvent évoquée par les anarchistes blancs qui se positionnent comme des « alliés » des peuples autochtones. Nombre d'anarchistes pensent qu'ils parlent au nom des peuples autochtones ou qu'ils cherchent à promouvoir leurs traditions. Cet usage simpliste des politiques identitaires n'a rien de nouveau. Il n'est pas nécessaire de chercher bien loin pour se rendre compte qu'un grand nombre d'autochtones sont aujourd'hui véganes, tout comme d'autres dont les coutumes n'ont jamais été axées sur la consommation d'animaux. Il n'existe pas de culture autochtone monolithique à évoquer et, par conséquent, ce geste est dénué de sens. Il n'existe qu'une multitude d'autochtones ayant leurs propres croyances et coutumes. Tenter de justifier la chasse et/ou la consommation d'animaux non humains en idéalisant les seuls autochtones contribue à homogénéiser les expériences de tous les peuples autochtones.
2. Je m'oppose à l'élevage industriel, mais il n'y a rien de mal à tuer des animaux hors du capitalisme. Autrement dit, « Tuer et manger des animaux n'est pas le problème, c'est tuer et manger des animaux sous le capitalisme qui est le problème. »
Cette objection au véganisme suppose que, sous le capitalisme, l'élevage industriel est la seule expérience néfaste attribuée aux animaux non humains. Certes, les abattoirs sont plus beaux en flammes, mais au cœur du spécisme se trouve une relation hiérarchique entre les animaux humains et non humains (qui se reflète dans leur utilisation quotidienne à des fins de divertissement, de tests pharmaceutiques et de modes impliquant leur peau et leur fourrure), justifiant leur oppression au-delà du seul capitalisme. La relation sociale aux animaux non humains ayant été fortement façonnée par le capitalisme, ils sont considérés comme des produits manufacturés plutôt que comme des êtres vivants capables d'éprouver la douleur et la souffrance. Si l'élimination du capitalisme et de l'élevage industriel mettra fin aux manifestations institutionnalisées du spécisme, seule l'élimination de la suprématie humaine au niveau personnel permettra de créer de nouvelles relations avec les animaux non humains, fondées sur le respect de leur droit à l'autonomie corporelle et à la liberté face à la domination humaine.
3. Le véganisme n'est qu'une activité de consommation et n'est pas intrinsèquement anticapitaliste.
Les boycotts ne changent rien, autrement dit : « Il n'y a pas de consommation éthique sous le capitalisme. »
Trop souvent, cette objection émane d'une perspective qui suppose à tort que le véganisme libéral représente le véganisme dans son ensemble. Au niveau organisé, des groupes et cellules véganes radicaux comme l'ALF, la Brigade de libération animale, la Milita pour les droits des animaux, etc., ont détruit des biens valant des centaines de milliers de dollars et terrorisé l'État, le poussant à adopter la Loi sur le terrorisme animaliste. Au niveau individuel, le véganisme est une attaque contre la structure du pouvoir spéciste au quotidien, une structure de pouvoir masquée par la normalité sociale.
Quiconque a assisté à suffisamment de rassemblements anarchistes excluant la nourriture végane sait à quelle vitesse les discussions et les disputes sur le spécisme et l'oppression des animaux non humains perturbent la paix ambiante entourant la consommation de chair et de sécrétions animales. Bien qu'il soit tentant de réduire le véganisme à une simple activité de consommation, le véganisme remet en question la hiérarchie oppressive (le spécisme) dans les espaces radicaux en agissant comme un frein au conformisme spéciste. Ce faisant, il instaure un dialogue qui met en lumière la question de l'oppression des animaux non humains et appelle à un examen approfondi des tendances et comportements oppressifs intériorisés.
Le spécisme est normalisé par la participation individuelle à un programme social plus large qui objectifie les animaux non humains et les place en dessous des humains, comme des marchandises à consommer. Participer à ce processus d'objectification normalise l'existence d'une pensée et d'une idéologie oppressives dans les espaces anarchistes. Dire que le véganisme ne s'intéresse qu'à la nourriture est une observation incomplète ; il ouvre de nouvelles pistes de réflexion sur notre relation aux animaux non humains, tout en remettant en question une hiérarchie socialement construite de la suprématie humaine qui normalise notre consommation de ces animaux.
4. Je ne contribue pas à l'oppression animale parce que je ne fais que voler ou jeter des produits animaux.
Bien que cela puisse satisfaire certains végans progressistes, cela ne répond pas au cœur du problème de la consommation animale. Même si le simple fait de voler ou de jeter des produits animaux peut signifier que l'on ne contribue pas financièrement à l'oppression animale, cela valide néanmoins la notion de suprématie humaine en normalisant l'activité sociale de consommation d'animaux non humains. En affirmant « c'est acceptable si ce n'est pas acheté, sinon ce serait gaspillé », les personnes qui jettent des produits animaux réduisent le véganisme à une stratégie de boycott plutôt qu'une analyse antispéciste/anarchiste, sur les relations humaines avec leur environnement.
Conclusion
Le véganisme n'est pas seulement un choix alimentaire, mais une remise en question du discours anthropocentré dominant. Il ne s'agit pas d'acheter des produits différents, mais de cultiver de nouvelles relations avec les animaux non humains, non fondées sur les hiérarchies et l'oppression. Si certains anarchistes estiment encore qu'attendre l'effondrement du capitalisme et soutenir l'ALF est une approche suffisante de l'antispécisme, beaucoup d'entre nous reconnaissent le cadre socio-culturel et alimentaire qui favorise le spécisme et la nécessité de sa destruction totale. Les anarchistes reconnaissent rapidement que le racisme, le sexisme et l'homophobie ne disparaîtront pas avec l'effondrement du capitalisme et qu'ils doivent être combattus ici et maintenant. Cependant, ces mêmes anarchistes sont souvent réticents à appliquer cette logique au spécisme. Si nous voulons une liberté totale, nous devons cultiver de nouvelles relations au quotidien. Cela implique de lutter contre l'oppression sur tous les fronts, y compris celui des espèces. Refuser cela est incompatible avec les pratiques anarchistes et autonomistes.
Nous ne demandons pas des cages plus grandes, mais la destruction de toutes les cages et des modes de pensée qui les créent. Vers l'anarchie par la négation individuelle et collective de cette société et de tous ses rôles intériorisés, en solidarité avec la nature sauvage contre le monde carcéral de la suprématie humaine : l'anarchie végane !
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Image : Incendie d'une usine de peaux de moutons
à Denver dans le Colorado le 30 avril 2010
Instagram : @solidarite_antispeciste
Traduction d'une brochure traitant de convergence des luttes
Extrait de la brochure « Vegan Anarchy, Anti-Speciesist Warfare & Direct Action »
Le mouvement de libération animale remet en question les dogmes spécistes profondément ancrés dans les traditions anarchistes. Étant donné que les destins de toutes les espèces de cette planète sont intrinsèquement reliés, l'exploitation des animaux non-humains a forcément aussi un impact sur la vie humaine.
Lorsque les animaux humains exterminent les animaux non-humains, ils dévastent les habitats et les écosystèmes nécessaires à leurs propres vies.
Quand ils font naître et tuent des animaux par milliards, ils ravagent les forêts tropicales, transforment les prairies en déserts, exacerbent le réchauffement climatique et rejettent des déchets toxiques dans l'environnement.
Lorsqu'ils construisent un système d'élevage industriel qui nécessite des quantités gigantesques de terres, d'eau, d'énergie, ils dilapident les ressources vitales et aggravent le problème de la faim dans le monde.
Quand les humains sont violents envers les animaux non-humains, ils sont souvent violents envers les autres humains aussi, un truisme validé à maintes reprises par des tueurs en série qui grandissent en violentant et tuant des animaux non humains ou encore les hommes violents qui battent les femmes, enfants et animaux « de compagnie » de leur maison.
De nombreuses manières, l'exploitation d'animaux non-humains encourage la violence dans le monde humain lui-même.
Le cercle vicieux de violence et de destruction ne se terminera que quand l'humain apprendra à former des relations harmonieuses avec les autres espèces.
Cependant, le mouvement de libération animale ne peut pas apporter la fin de l'exploitation des animaux à lui tout seul. Il ne peut faire cela qu'en partenariat avec luttes anticapitalistes et écologistes radical.
En plus d'obtenir de nouvelles perspectives sur les dynamiques de hiérarchie, de domination et de destruction environnementale depuis les idées antispécistes, les « humanistes » devraient saisir l'incohérence flagrante qu'est la défense de valeurs telles que la paix, la non-violence, la compassion, la justice et l'égalité tout en exploitant des animaux dans leur vie quotidienne, faisant la promotion d'idéologies spécistes, et ignorant la brutalité continue contre d'autres espèces, qui menace gravement toute la planète.
Inversement, une partie du mouvement animaliste est politiquement naïf, monothématique et dépourvu de théorie politique et de critique anticapitaliste nécessaires à la libération animale.
Les véganes libéraux pourraient grandement bénéficier de discussions avec des anarchistes concernant l'anticapitalisme et le rapport à l'état.
Les écologistes non véganes ne pourront pas atteindre leurs objectifs sans s'attaquer à une des principales causes du réchauffement climatique : l'agriculture industrielle, et en saisissant comment la pollution de l'eau, la déforestation, l'épuisement des ressources etc sont significativement causés par l'agriculture animale et plus globalement l'exploitation des animaux.
Nous affirmons la nécessité de visions plus étendues de tous les côtés du spectre de libération humaine et de la libération animale, et nous appelons à de nouvelles formes de dialogue, d'apprentissage et d'alliances.
La libération animale, humaine et luttes écolos sont des projets interdépendants qui doivent être menés comme un tout, en sachant que le véganisme est au cœur de l'écologie entres autres. Dans le monde anglophone, on parle de « total libération ».
Nous devons remplacer la critique indépendante de chaque système de domination par une critique de la hiérarchie comme phénomène systémique, en sachant que le capitalisme est un cancer en train détruire la planète et qu'un programme viable pour la libération totale cherche à abolir le capitalisme.
Pour les anarchistes véganes, le véganisme est plus qu'un simple mode de vie qui rejette la nourriture et les produits dérivés d'animaux torturés, exploités et destinés à être de simples produits. D'un point de vue anarchiste, le véganisme est l'une des nombreuses formes de résistance nécessaires pour combattre le capitalisme, la société anthropocentrée et les états qui les protègent.
Au niveau individuel, le véganisme signifie rejeter le statut de marchandise des animaux non-humains et confronter la société qui la maintient.
Comme tout autre mouvement de libération, l'antispécisme nécessite de la sensibilisation, et de l'action directe.
Comme toute autre forme d'oppression, le spécisme doit être amené dans les conversations, en particulier dans les milieux anarchistes.
Avec plus d'un million d'animaux tués chaque jour au nom du capitalisme, de l'alimentation et de l'anthropocentrisme, le spécisme est une épidémie cachée de brutalité discriminatoire normalisée.
Briser le spécisme, c'est étendre le respect et la solidarité à ceux dont la valeur de la vie est déterminée par un système qui les considère comme de simples objets.
S'opposer au racisme, au sexisme et à d'autres formes de discrimination tout en promouvant le spécisme, c'est compromettre la totalité de la lutte contre le pouvoir hiérarchique et la domination.
Instagram : solidarité_antispeciste
Des neutrons, des protons, des produits de fission, des bombes et des réacteurs qui lâchent, du colonialisme atomique et des nucléocrates qui s'accrochent... 1h de fanzine radiophonique contre le nucléaire et son monde. ☢️
Minuit Décousu, c'est un fanzine radiophonique nocturne sur Radio Canut (Lyon et alentours) et Cause Commune (Paris/IDF). Semaine après semaine pendant une heure, on en découd avec la nuit et on tire les fils de sons, de textes, d'archives et de voix qui s'entremêlent.
Alors qu'on vit un drôle de remake de la guerre froide avec la reprise des essais nucléaires par les États-Unis et la Russie, que Macron est habité par le mythe du nucléaire civil français et que les nucléocrates de tous bords font de l'atome l'horizon d'attente du futur décarboné, on s'est dit que ça valait de découdre tout ça. En collant des petits bouts par ci par là, on a concocté 1h de fanzine radiophonique contre le nucléaire et son monde. Tu pourras ainsi entendre :
Le nucléaire : une énergie, des filières (entretien avec Laure et Bubu, militant·es antinucléaires*)
La lutte contre la centrale de Golfech (1972-1990)
« Boucler la boucle », le rêve des nucléocrates (*)
Et de droite et de gauche : le nucléaire français
Travailler en zone contrôlée : les travailleur·euses du nucléaire (*)
La bataille de Maleville (archive de Minuit Décousu, 2022)
Le milieu écolo et le nucléaire : l'énergie « décarbonée », le nucléaire et ses désastres (*)
L'émission s'écoute sur notre audioblog, ici, et un peu partout en podcast. Bonne écoute !
Appel au Rassemblement Contre l'Extradition de Zaïd, Mercredi 12 Novembre 14h30 Face au Palais de Justice Métro Cité, à l'occasion de l'audience de Zaid
APPEL A UN RASSEMBLEMENT LE 12 NOVEMBRE A 14H30 EN FACE DU PALAIS DE JUSTICE DE CITE CONTRE L EXTRADITION DE ZAID
Communiqué pour la libération de Zaid
Mercredi 1er octobre, notre ami et camarade Zaid a été entendu par la police dans le cadre de l'affaire Budapest. Visé par un mandat d'arrêt européen émis par la Hongrie, il a été libéré sous contrôle judiciaire en attendant la décision sur sa possible extradition en Hongrie.
Zaid qui possède la nationalité syrienne, vivait en Allemagne, où il a été incarcéré puis placé sous contrôle judiciaire, avant d'arriver en France. C'est à cause de la précédente collaboration dans cette affaire entre les autorités allemandes et hongroises et du risque d'extradition que Zaid a choisi de venir en France.
Les autorités allemandes n'avaient pas hésité en 2024 à extrader illégalement notre camarade Maja, aujourd'hui toujours emprisonné.e en Hongrie, à l'isolement et dans des conditions indignes.
Comme pour Gino avant lui et pour toustes les autres camarades poursuivi.es dans cette affaire, nous nous opposons à l'extradition de Zaid en Hongrie, qui lui empêcherait d'avoir accès à un procès juste.
Nous demandons le refus de son extradition et nous invitons tout le monde à multiplier les actions de solidarité avant les prochaines échéances judiciaires.
La prochaine audience aura lieu le 12 novembre.
Comité Solidarité Budapest

Le RN organise une réunion publique à l'espace Robespierre. Il n'est pas le bienvenu dans notre ville.
Retrouvons-nous mercredi 5 novembre 2025, à partir de 18h30, devant le métro Mairie d'Ivry.
Mobilisons-nous contre l'extrême-droite !!
Grande soupe solidaire et festive !
Le RN organise une réunion publique à l'espace Robespierre. Il n'est pas le bienvenu dans notre ville.
Contre la venue de l'extrême-droite à Ivry et la normalisation du RN et de ses idées, montrons leur le véritable visage d'Ivry : une ville solidaire, joyeuse, antiraciste et antifasciste !
Retrouvons-nous mercredi 5 novembre 2025, à partir de 18h30, devant le métro Mairie d'Ivry.

Du 3 au 5 décembre, au Café Fantoche : Après le passage de l'ouragan Melissa, la situation est critique à Cuba. Nous organisons cette collecte dans l'espoir d'apporter notre soutien aux personnes victimes de la catastrophe. On vous remercie de votre solidarité !
